Meriem Glia en faveur d’une nouvelle approche en santé

Terrebonne, le 19 mars 2014 –

Faisant elle-même partie des gestionnaires du système de soins de santé québécois, la candidate du Parti libéral du Québec dans la circonscription de Terrebonne, Meriem Glia, est en faveur d’une nouvelle approche en matière de soins de santé.

« Tous les jours, je dois faire face aux lacunes de notre système de soins de santé et la solution passe par le changement. Le Parti libéral du Québec propose de réduire la bureaucratie, d’optimiser les services de santé et de renégocier à la baisse les prix de nos médicaments afin d’offrir aux Québécois un meilleur accès aux soins et aux services de santé. Nous nous engageons également à réviser en profondeur le mode de financement des établissements de santé de manière à réaliser des économies et les réinvestir dans les services directs aux patients », a expliqué Mme Glia.

Parmi les mesures proposées par le PLQ, on trouve la création de 50 super-cliniques de santé et l’achèvement du réseau de Groupes de médecine familiale pour porter leur nombre à 300 – ce qui améliorera véritablement l’accès des citoyens à un médecin –, la formation de 2 000 infirmières praticiennes spécialisées, ainsi qu’un accès bonifié aux échographies, aux scans et aux examens de résonnance magnétique. « J’entends effectuer les démarches nécessaires pour les gens de Terrebonne puisse bénéficier de toutes ces opportunités. De plus, je travaillerai d’arrache-pied pour donner à nos aînés un accès à des soins et des services de grande qualité qu’ils méritent pour avoir bâti le Québec que nous connaissons. »

Dans un gouvernement libéral, il y aura un ministre responsable des aînés, un crédit d’impôt remboursable de 20 % pour les activités physiques, artistiques et culturelles, jusqu’à concurrence de 200 $, la bonification du programme Municipalité amie des aînés, un programme de prêts destiné aux propriétaires âgés de 60 ans et plus afin de les aider à assumer la facture des taxes foncières et scolaires qui augmente sans cesse et leur permettre de rester chez eux, ainsi qu’une série de mesures destinées aux proches aidants dotées d’une enveloppe budgétaire supplémentaire de 5 millions $ par année pendant 5 ans. « Voilà ce que j’appelle s’occuper des vraies affaires », a conclu Mme Glia.