« Incertitude et division = perte d’emplois et la région de Lanaudière n’y échappe pas »

Terrebonne, le 12 mars 2014 – La candidate du Parti libéral du Québec dans la circonscription de Terrebonne, Meriem Glia, s’est dite vivement préoccupée par les résultats de l’Enquête sur la population active en février 2014 publiée par Statistique Canada, montrant la perte de 26 000 emplois au Québec, dont 4 300 dans la région de Lanaudière. « Après de tels résultats, les péquistes continuent de nous parler de charte et de référendum, alors que ce sont là les véritables causes de la faiblesse croissante de notre économie et la perte de nos emplois », a affirmé Mme Glia.

« La MRC Les Moulins fait peut-être un peu mieux que le reste de la région pour l’instant, mais comme nous vivons sur la même planète que les autres, les mauvais résultats finiront malheureusement par nous rattraper, et il faut éviter cela à tout prix. Nous devons mettre fin à l’incertitude économique et seul le Parti libéral affiche une farouche détermination à s’occuper des vraies affaires, soit de créer des emplois de qualité dans toutes les régions du Québec, d’améliorer les services en santé en priorisant les soins plutôt que la bureaucratie, d’investir en éducation en nous concentrant sur la réussite de l’élève – l’investissement le plus important dans notre avenir -, et d’aider les familles à s’épanouir dans un milieu de vie stimulant, dynamique et prospère » a ajouté Mme Glia.

« Sans stabilité économique, il n’y a pas de prospérité. C’est vrai à Terrebonne comme ailleurs. En plus, le PQ nous demande de lui accorder un mandat majoritaire sur un cadre financier qui ne comprend pas la colonne des dépenses. Essayez donc d’obtenir un prêt bancaire personnel en présentant un cadre financier à moitié rempli. Je ne crois pas que votre institution vous trouverait bien sérieux. Pourtant, c’est ce qu’on nous demande de faire comme population. Il est bien plus important pour eux de faire des tours de passe-passe électorale en divisant les Québécois sur ce que les gens portent sur la tête plutôt que sur ce qu’ils ont dans la tête et dans le cœur, et en pigeant allègrement dans leur portefeuille sans leur dire au préalable ce qu’ils achèteront » de conclure Mme Glia.