Jean-Mathieu Desmarais se demande si la Chambre de Commerce du Grand Joliette est anti-démocratique ?

Joliette, le 17 août 2012 – La Chambre de Commerce du Grand Joliette donne raison à mon Slogan «  Donnez-vous le droit de parole« . Par contre elle ne l’applique pas à tous les candidats inscrits pour l’élection générale du 4 septembre prochain. Car seulement les candidats qui ont un représentant à l’Assemblée Nationale ont le droit de parole au débat de la CCGJ. Je me demande par contre si les règles ont changées pour ce débat seulement. Au débat de la CCGJ 2008 Mme Flavie Trudel était présente alors qu’aucun représentant de Québec Solidaire n’était à l’Assemblée Nationale. Ainsi qu’en 2011 alors que Mme Annie Durette représentante du parti Vert pour joliette y était alors que le parti n’avait aucun représentant à la Chambre des Communes.

Le droit de parole est fondamentale pour les différentes classe de la société et ainsi pour tout candidat qui ose se lever et poser sa candidature pour une élection tant au niveau scolaire, municipale, provinciale ou fédéral. Alors que 4 candidats sur 8 ne sont pas invités à débattre de leur positions et se donner le droit de parole alors on peut penser que la CCGJ n’est pas très ouverte d’esprit.

Un candidat indépendant a, lui aussi, des idées à mettre sur la table. Il est aussi prêt à travailler corps et âme pour ses concitoyens (nes). Il me faudra utiliser les autres moyens de communications mis à ma disposition pour vous faire part de mes idées.La CCGJ conclu, en agissant ainsi, que toutes les idées sont incluses à l’intérieur des 4 programmes des partis représentés à l’Assemblée Nationale. Alors que l’on sait pertinemment que les candidats offriront sûrement du réchauffé lors du débat, en répétant les positions de leur chefs respectifs et en reprenant les promesses ridicules que l’on essaie de nous faire avaler alors que notre province est des plus en plus endettés. On promet on promet mais seulement en campagne électorale. Les gens ne croient plus aux promesses faites par nos grands partis.

La pensée unique prend le dessus; cette rencontre en circuit fermé ne cherchera pas à comprendre et à se poser des questions, mais bien à ingurgiter des réponses toutes faites comme le veut la pensée économique néolibéral. La culture et le savoir des 4 candidats oubliés, qui sont avant tout capacité de jugement de discernement et de pensée propre, donc forcément critique, ont été mis de côtés.

En conclusion, sachez que je continue mon travail acharné pour surmonter les embûches qui se posent sur le chemin d’un candidat indépendant. Les changements fondamentaux de notre système de gouvernance doivent venir des gens ordinaires, dont je fais parti, car ils sont nos yeux sur le terrain. Mon slogan « Donnez vous le droit de parole«  résume bien cette pensée. Si vous me faites l’honneur de vous représenter à Québec le 4 septembre prochain je vous promet 3 choses : l’éthique de travail, le respect de mes citoyens (nes) et l’honnêteté.